Articles by Alan Dente

Coyote

Coyote est le nom d’un duo de DJs et producteurs basé en Grande-Bretagne, composé de Timm Sure et Ampo, profondément ancré dans la scène baléarique. Après avoir passé les années 90 à multiplier les apparitions dans les clubs anglais les plus notoires, et à des soirées telles que la Sabresonic d’Andrew Weatherall, Coyote voit officiellement le jour en 2004, lorsque Timm et Ampo commencent à faire de la musique ensemble. Ils mettent en place le label Is It Balearic? Recordings en 2006, dans le but de sortir leurs propres productions, les premiers maxis se vendant très rapidement. Ils ont depuis pressé des artistes majeurs tels que Tiago, Max Essa, Justin Robertson et Social Disco Club, ainsi que des remixes d’Aeroplane, Rune Lindbaek, Prins Thomas, The Beat Broker et Joe’s Bakery pour ne citer qu’eux.

Rayko

Résidant à Madrid, Rayko Peña est un DJ et producteur espagnol profondément influencé par les sons des années 70 et 80, à savoir disco, funk, boogie et rock. En 2008, il démarre son propre label Rare Wiri Records, attirant l’attention avec une première sortie de lui-même et d’un autre natif des Îles Canaries: Ilya Santana. Il s’ensuit une série de maxis de producteurs talentueux tels que Ilija Rudman, Ichisan, Phoreski, Marbeya Sound ou Beatfanatic, sans oublier Rayko lui-même. Réputé pour être extrêmement prolifique, il prend rapidement ses marques et multiplie les apparitions sur des labels incontournables des scènes baléarique et nu-disco: Eskimo Recordings, Is it Balearic?, Lumberjacks In Hell ou encore Nang.

J.A.Z.

J.A.Z. (John Arthur Zahl), moitié prêtre moitié DJ, vit à Charleston, en Caroline du Sud. Connu principalement pour ses mixes mis en ligne par de prestigieux hôtes (Balearic Social, Dream Chimney, Test Pressing, Noncollective…) et pour l’éclectisme de ses goûts en musique des années 70 et 80, il est l’auteur de plusieurs edits et mixes sortis sur Claremont 56, Beard Science, Rotating Souls, Messalina, et plus récemment Universal Cave.

En regardant récemment les crédits sur les labels de quelques-unes de mes versions dub de disco et boogie préférées, je remarque un nom qui apparaît plusieurs fois: celui d’Eric Matthew.